Jean Baptiste Albert SARRADE 1851/1932
Généalogie SARRADE à partir du père de Jean Baptiste Albert
I Jean Baptiste SARRADE, instituteur primaire puis greffier de la justice, fils de Jean (°1794), vigneron et Catherine TASTET, né à Poyanne (Landes) le 2 octobre 1824. Il s'est marié, le 25 juin 1850 à Tartas (Landes) avec Hélène FARBOS ,, née à Tartas (Landes) le 23 novembre 1819, y décédée en juin 1869.Jean Baptiste s'est marié une seconde fois le 19 novembre 1873 à Tartas (Landes) avec Marie BOUTOU, née en 1848, décédée avant 1922,
Du premier lit :
1) Jean Baptiste Albert SARRADE Général de brigade, commandeur de la Légion d'honneur, Croix de Guerre, né à Tartas (Landes) le 24 juin 1851, décédé à Dax (Landes) le 15 septembre 1932, à l'âge de quatre-vingt-un ans. Il s'est marié , le 17 août 1881 à Coulombs (Eure-et-Loir) avec Marguerite Louise LEGOUX , fille d'Ernest (°1829), marchand de bois et Adèle Octavie PERROT (°1835), née à Coulombs (Eure-et-Loir) le 11 juillet 1859 , décédée à Dax (Landes) en 1925,
2) Marie-Louis Joseph SARRADE Auteur de la BRANCHE CADETTE qui suivra.
Il s'est uni avec Marie Thérèze Anna ADER, née en 1865,
Du second lit :
3) SARRADE, née en 1874.
4) SARRADE, religieuse ursuline, née en 1875.
5) Marie Joseph Gabriel SARRADE, Général de brigade, né à Tartas (Landes) le 13 novembre 1882, décédé à Bordeaux (Gironde) le 18 novembre 1954,
Il s'est marié, le 30 mai 1922 à Bordeaux (Gironde) avec Anne Marie Odette FAYET,
Quelques photos du Général JBA Sarrade
Quelques pages de son dossier militaire
Quelques liens sur internet.
http://chtimiste.com/batailles1418/alsace1914.htm
Le 1e groupe de division d'infanterie de réserve, commandé par le général Archinard, des troupes coloniales, entrait dans l'armée d'Alsace, à laquelle il apportait un renfort de trois divisions, constituées chacune par deux brigades de trois régiments à deux bataillons. C'est ainsi que la 66e division du général Woirhange était composée de la 131e brigade du général Sauzéde (280e, 281e et 296e régiments d'infanterie) et de la 132e brigade du général Sarrade (215e 253e et 343e régiments d'infanterie).
http://chtimiste.com/batailles1418/combats/1914didenheim.htm
http://vinny03.perso.neuf.fr/gg/leshistos/jmo296.htm
JMO du 296e RI du 13 aout 1914 au 18 octobre 1914 |
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http://1914ancien.free.fr/compo1_a.htm
Groupement Sud (général Mazel)
66e D.R. (général Mazel; chef d'état-major : Colonel Goybet) |
131e brigade (colonel Sauzède, jusqu'au 7 septembre, puis colonel Gadel) : 280e R.I., 281e R.I., 296e R.I. |
132e brigade (général Sarrade) : 215e R.I., 253e R.I., 343e R.I. |
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Cavalerie 19e dragons (5e et 6e escadrons). |
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Artillerie (3 groupes) : 3e R.A.C. (1 groupe 75), 9e R.A.C. (1 groupe 75), 56e R.A.C. (1 groupe 75) |
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Génie : 2e régiment (compagnies 16/13, 16/19, 16/24) |
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14e brigade de dragons (général de la Tour) |
17e dragons, 26e dragons, 21e B.C.P. (1peloton cycliste) |
http://www.ancestramil.fr/uploads/01_doc/terre/infanterie/1914-1918/51_rit_historique_1914-1918.pdf
fichier téléchargeable
http://alsace1418.fr/3-oper-alsace/oper-alsa-aout-14/f-oper-alsace-aout-14-p01.html
Le 1er groupe de division d'infanterie de réserve, com- mandé par le général Archinard, des troupes coloniales, en- trait dans l'armée d'Alsace, à laquelle il apportait un renfort de trois divisions, constituées chacune par deux brigades de trois régiments à deux bataillons. C'est ainsi que la 66e division du général Woirhange était composée de la 131e brigade du général Sauzède (280e, 281e et 296e régiments d'infanterie) et de la 13e brigade du général Sarrade (215e 253e et 343e régiments d'infanterie). La 63e division de réserve
http://cse-hindisheim.info/downloads/Faux.pdf
fichier téléchargeable
L'opération des 2 et 3 décembre 1914
Le 2 décembre l'instruction N°55 du général de division Guerrier prescrit à
la 132e Brigade du général Sarrade (66e D.I. / 34e corps) d'occuper la
Tête des Faux et la côte de Grimaude. La 132e Brigade, dont le
recrutement provient essentiellement des régions d'Albi, de Perpignan et
de Castelnaudary, est alors divisée en deux groupements : celui de
Laveline et celui de Plainfaing. Le premier, dirigé par le lieutenant-colonel
Salavagnac, comprend le 253e R.I., le 13e B.C.A. et une batterie de
montagne. Le second mené par le lieutenant-colonel Brissaud-Desmaillet
compte les 28e et 30e B.C.A., le 215e R.I. et quatre batteries alpines. Le
343e R.I. constitue la réserve générale. C'est le groupement de Plainfaing
qui est chargé de prendre la Tête des Faux.
La Tête des Faux est occupée par le b. L.I.R. 3
http://www.lemilitarial.com/MONUMENTS/mplf/expos/giroussens/analyse/analyse-globale2.htm
Le 19 août, le contact était pris avec l’ennemi ; deux pelotons de réserve du 19ème Régiment de Dragons de Castres chargeaient sur le bois de Gallen-Holtzolle. Le 296ème RI de Béziers subissait une sévère canonnade causant des pertes tandis que le 215ème RI d’Albi sortant de Didenheim et s’apprêtant à franchir le pont sur l’Ill, était stoppé par une vive fusillade. Entassées entre la sortie du village et la rivière, deux sections tentaient alors de forcer le passage sur le pont mais étaient clouées au sol dès leur arrivée sur l’autre rive par un feu terrible de mitrailleuses. Le repli précipité des survivants créait un début de panique sur les bataillons du 215ème et du 343ème RI de Castelnaudary qui s’étaient échelonné sur la rive. Le régiment avait perdu près de 200 hommes. Le drapeau déployé, la charge était sonnée et le 215ème reprenait ses positions qu’il ne quittait que le 24 août sur l’ordre général de retraite. La 66ème Division se repliait par Petit-Croix, Montbéliard, Monvillard, Rechesy et Courtelevant. Pendant près d’un mois son rôle allait se résumer à tenir à l’aile droite de l’Armée d’Alsace, un front délaissé par la bataille, hormis quelques patrouilles offensives. Le 1er octobre, la 132ème Brigade quittait la 66ème Division pour faire partie des unités qui allaient renforcer cette X° Armée en Artois et allait passer à la 58ème Division. En Alsace, où les autres régiments de la 66ème Division de Réserve allaient être affectés à la 41ème Division (Le 17 décembre 1914, la 81ème brigade passe à la 66ème DI et est remplacée par la 132ème brigade), la tactique allait résider dans la prise des sommets et des cols pour s’assurer des vallées. C’est le 2 décembre 1914 que commençait cette lutte qui atteindrait son apogée durant l’année 1915. Deux bataillons de chasseurs alpins soutenus par le 215ème RI s’emparaient de la Tête des Faux, à 1219 mètres d’altitude. Le régiment de réserve d’Albi y laissait une centaine d’hommes ; les « jägers » allemands restaient toutefois cramponnés à mi-pente et devaient contre-attaquer sans succès dans la nuit de Noël. Sur ce front, les boyaux alternaient avec des murs de pierres recouverts de troncs de sapins. La neige, le froid allaient être pour les « combattants des cimes » des ennemis tout aussi meurtriers que l’adversaire ; et il faudrait apprendre à compter avec des conditions géographiques et climatiques pour lesquelles on n’avait pas été préparé. La 41ème division occupait un secteur entre la Chapelotte et la Fave (région de Provenchères-sur-Fave), étendu à droite, à partir du 19 décembre 1914, jusqu’au col du Bonhomme. En février et en mars 1915, elle livrait des combats vers la Chapelotte. Le 22 juin, elle perdait la Côte 637, reprise le 8 juillet. Le 24 juillet, le 253ème régiment de Perpignan venait en aide à la 82ème Brigade pour la prise de Launois, lors des combats de la Fontenelle. Par la suite et durant toute l’année 1915, la 132ème Brigade du Général Sarrade, formé des régiments de réserve d’Albi, Castelnaudary et Perpignan allait former l’aile droite de la 41ème DI, s’étendant du col du Bonhomme au col d’Hermanpère. Sur ce secteur, il y avait deux points important, le « Violu », observatoire admirable et « 607 », bastion formidable que les Allemands allaient chercher à occuper continuellement. Des attaques sur ce secteur furent repoussées par le 253ème RI en février puis en avril 1915. Puis, devant les difficultés de combat en terrain montagneux, des bombardements et des tirs de mines eurent lieu jusqu’à la fin de l’année 1915